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D'un coup d'ailes affPhoto("écosystème du Saint-Laurent marin", "33panoramaslm.jpg", "", "600", "311"); ?>affPhoto("la falaise marine", "33falaisemarine.jpg", "", "400", "267"); ?> La falaise marine affPhoto("eider à duvet", "33eidermale.jpg", "", "320", "240"); ?> Eider à duvet Son bec puissant se prolonge très haut sur le front. L’eider à duvet est des mieux adaptés pour plonger vers le fond où il récolte de petits oursins et divers mollusques, notamment les jeunes moules bleues. Au Biodôme, l'eider se nourrit de poissons frais, mais aussi de moules bleues adultes (ouvertes) que l’on dépose au fond du bassin. affPhoto("guillemot à miroir", "33guillemotmiroir.jpg", "", "320", "240"); ?> Guillemot à miroir Situées loin en arrière, ses pattes offrent peu de résistance lors de la
plongée. La majorité des oiseaux plongeurs se déplacent sous l’eau à l’aide de leurs pattes. En se servant de ses ailes (mi-ouvertes), le guillemot atteint des vitesses suffisantes pour attraper des petits poissons. Chaque jour, à la vue sous-marine du Biodôme, on peut voir le guillemot saisir du poisson frais lancé par le personnel. affPhoto("sterne pierregarin", "33sternepierregarin.jpg", "", "320", "240"); ?> Sterne pierregarin Son bec est en forme d’épée. Très agile, la sterne peut effectuer des virages brusques ou voler sur place avant de plonger tête première vers sa proie qui nage juste sous la surface. Bien qu’elle se nourrisse surtout aux plateaux, on voit parfois la sterne saisir du poisson frais lancé par le personnel du Biodôme. affPhoto("le littoral", "33littoral.jpg", "", "400", "267"); ?> Le littoral affPhoto("grand chevalier", "33grandchevalier.jpg", "", "320", "240"); ?> Grand chevalier Son bec est long, fin et légèrement retroussé. Le grand chevalier est bien équipé pour chasser à vue et, d'un coup de bec vif, attraper les petites proies qui s'agitent en eaux peu profondes. affPhoto("tournepierre à collier", "33tournepierre.jpg", "", "320", "240"); ?> Tournepierre à collier Son bec droit et pointu n'est pas très long. Trapu et bas sur pattes, le tournepierre peut se servir de son bec comme d’un levier pour retourner les galets et se nourrir des petits invertébrés qui se cachent dessous. affPhoto("bécassin roux", "33becassinroux.jpg", "", "320", "240"); ?> Bécassin roux Son bec droit et très allongé est flexible; son extrémité est sensible au toucher et même aux goûts. En sondant le sol, à la manière d’une machine à coudre, le bécassin roux peut se nourrir de menues proies invisibles et bien enfouies qu'il détecte grâce à son bec sensible. affPhoto("la forêt côtière", "33foretcotiere.jpg", "", "400", "267"); ?> La forêt côtière affPhoto("geai bleu", "33geaibleu.jpg", "", "320", "240"); ?> Geai bleu Son bec polyvalent (mi-long, fort et pointu) sert fort bien son régime omnivore. Opportuniste et fouineur, le geai bleu peut briser cocons, carapaces et coquilles dures avec son bec en forme d'épée. Au besoin, il pourra tenir sa nourriture avec ses pattes pendant qu'il la martèle avec son bec. affPhoto("junco ardoisé", "33juncoardoise.jpg", "", "320", "240"); ?> Junco ardoisé Son bec est petit et conique. Le petit bec conique du junco est idéal pour saisir et cisailler l'écale des graines minuscules. Parfois, l'oiseau se pose au sommet d'une graminée et la rabat au sol pour ensuite se nourrir de ses graines. affPhoto("bruant fauve", "33bruantfauve.jpg", "", "320", "240"); ?> Bruant fauve Gros bruant au bec conique relativement fort. Lorsqu'il s'alimente, le bruant fauve effectue souvent de petites «ruades» (sauts vers l'arrière les deux pattes à la fois) tout en raclant le sol avec ses griffes, ce qui dégage la nourriture enfouie dans le tapis forestier.
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