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Jardin Leslie-HancockMonsieur Rhododendrons Jusqu'au milieu du 20e siècle, on pensait qu'il était impossible de cultiver des rhododendrons sous notre climat rigoureux. C'est grâce à l'horticulteur Leslie Hancock (1892-1977) que leur culture s'est développée au pays. Cet amoureux des rhododendrons a dessiné gracieusement les plans de ce jardin, en plus de donner de nombreux spécimens.
Inauguré en 1976, le Jardin des Éricacées fut rebaptisé Jardin Leslie-Hancock en 1986. Il s'agit du seul espace thématique dont le nom est associé à un individu. |
Jardin botanique de Montréal (Archives) | Au moment de l'inauguration du Jardin des Éricacées en juin 1976, Leslie Hancock, pelle à la main, plante un rhododendron.
Également sur la photo, André Champagne, alors directeur du Jardin botanique, et Jack Van Gemeren, premier horticulteur du Jardin des Éricacées. |
Jardin botanique de Montréal (Robert Mineau) |
Une passion, quatre générationsLeslie Hancock a transmis sa passion des rhododendrons à ses descendants. Aujourd'hui, Lara, l'arrière-petite-fille de Leslie, travaille à la pépinière fondée par son aïeul à Mississauga, en Ontario, où les rhododendrons sont toujours à l'honneur. |
Jardin botanique de Montréal (Robert Mineau)
| Rhododendron 'Leslie's Legacy', résultat du croisement entre R. punctatum et R. dauricum var. album, occupe comme il se doit une place d'honneur dans ce jardin, à côté de la plaque qui commémore la mémoire de son créateur. C'est Marjorie, la fille de Leslie Hancock qui a créé ce cultivar. |
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