Un royaume pour la Reine des fleurs À l'automne 1975, alors qu'au sud de la rue Sherbrooke le Stade olympique surgit peu à peu d'une forêt de grues, au nord, des horticulteurs complètent l'aménagement de la Roseraie du
Jardin botanique.
Depuis la fondation du Jardin botanique, la collection de roses était scindée en deux : le Jardin des arbustes hébergeait les rosiers sauvages alors que le Jardin des vivaces accueillait les rosiers
floribundas et polyanthas. À l'occasion des Olympiques, on offre enfin un royaume à la Reine des fleurs. La souveraine conquiert un domaine jusqu'alors dévolu aux iris et aux hémérocalles. |
Jardin botanique de Montréal (Archives) |