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5. Point tournant du projet : le choix de la pierre
Pour l'élément structurant du Jardin japonais de Montréal, monsieur Nakajima arrêtera son choix sur une pierre rare et...
d'une rare beauté, jamais encore utilisée en architecture du paysage.
Clin d'oeil à la géologie québécoise puisqu'elle provient des mines d'amiante de Thetford Mines, la péridotite, beauté verdâtre striée de blanc et de noir, confère une personnalité unique au Jardin japonais de Montréal.
Cette roche ignée, formée il y a 500 millions d'années environ, est extraite d'un long filon traversant les Appalaches vers
la Gaspésie et l'océan Atlantique - et dont on ne retrouve l'équivalent qu'en Sibérie.
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